Dead-Doll | zaterdag 24 september 2005 @ 18:39 |
Les songes funestes Cette nuit en dormant d'un somme inquiété, J'ai toujours combattu de tristes rêveries, La clarté d'un tison dans une obscurité M'a fait à l'impourvu paraître des Furies. Près de moi la Discorde, et l'Infidélité Montraient leur violence en mille barbaries, Et de sang épandu, partout leur cruauté Souillait l'argent de l'onde, et l'émail des prairies. Troublé de ces horreurs je ne sais que penser, Si ce n'est que le ciel me veuille menacer De quelque changement en l'âme de Silvie. Songe, fantôme affreux, noir ennemi du jour, Parle-moi si tu veux de la fin de ma vie, Mais ne m'annonce point la fin de son amour! ![]() | |
King_of_cubes | zaterdag 24 september 2005 @ 18:40 |
De Fransen. | |
MaxPowered | zaterdag 24 september 2005 @ 18:41 |
Pierre, pierre, pierre Je veux dix bière! ![]() | |
ikwilookwatzeggen | zaterdag 24 september 2005 @ 18:41 |
Que? ![]() | |
JDude | zaterdag 24 september 2005 @ 18:41 |
Puik sonnet. | |
Dead-Doll | zaterdag 24 september 2005 @ 18:44 |
Vooral dit stukje: Dicht bij mij toonden de onenigheid en ontrouw hun geweld in duizend barbaarsheden. ![]() | |
Renmaestro | zaterdag 24 september 2005 @ 18:47 |
Tous les enfants de ma cité et même d'ailleurs Et tout ce que la colère a fait de meilleur Des faces de stalagmites et des jolies filles Des têtes d'acné, en un mot la famille Sont là Oui tous les enfants de mon quartier et même d'ailleurs Et tout ce que le béton a fait de meilleur Des qui voulaient pas payer l'entrée trente balles Ont envahi la scène, ont envahi la salle. Y'a là des bandits qu'ont des têtes de cailloux Ceux qu'ont du sentiment autant que les voyous Attendent qu'on allume un méchant boucan Et que surgissent de la scène des volcans Et c'est là: Qu'on a tombé la chemise Tomber la chemise... ![]() | |
DaveMasteR | zaterdag 24 september 2005 @ 18:50 |
Frère Jacques, Frère Jacques, Dormez-vous? Dormez-vous? Sonnez les matines, Sonnez les matines, Ding, dang, dong! Ding, dang, dong! | |
JDude | zaterdag 24 september 2005 @ 18:54 |
Allons enfants de la Patrie, le jour de gloire est arrivé Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé. L'étendard sanglant est levé: Entendez-vous dans nos campagnes Mugir ces féroces soldats! Qui viennent jusque dans vos bras Égorger vos fils et vos compagnes. Aux armes citoyens, Formez vos bataillons. Marchons! Marchons! (Refrein) Qu'un sang impur Abreuve nos sillons Que veut cette horde d'esclaves De traîtres, de rois conjurés? Pour qui ces ignobles entraves Ces fers dès longtemps préparés Ces fers dès longtemps préparés Français, pour nous, Ah quel outrage Quel transport il doit exciter! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage Refrein Quoi! Des cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers! Quoi! Ces phalanges mercenaires Terrasseraient nos fiers guerriers. Terrasseraient nos fiers guerriers. Grand Dieu! Par des mains enchaînées Nos fronts, sous le joug, se ploieraient. De vils despotes deviendraient Les maîtres de nos destinées Refrein Tremblez tyrans, et vous perfides L'opprobe de tous les partis. Tremblez, vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix! Vont enfin recevoir leur prix! Tout est soldat pour vous combattre. S'ils tombent nos jeunes héros, La terre en produit de nouveaux Contre vous, tous prêts à se battre Refrein Français en guerriers magnanimes Portez ou retenez vos coups. Épargnez ces tristes victimes A regrets s'armant contre nous! A regrets s'armant contre nous! Mais ce despote sanguinaire Mais les complices de Bouillé Tous les tigres qui sans pitié Déchirent le sein de leur mère! Refrein Amour Sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos braves vengeurs. Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs Combats avec tes défenseurs Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et nous, notre gloire Refrein Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leur vertus! Et la trace de leur vertus! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil. Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre Refrein | |
Heatseeker | zaterdag 24 september 2005 @ 18:55 |
Paraplu, trottoir enzo ![]() | |
Bupatih | zaterdag 24 september 2005 @ 18:56 |
Ma mère et ton père. Et, voila un demi-frère [ Bericht 1% gewijzigd door Bupatih op 24-09-2005 19:46:21 (:@) ] | |
JDude | zaterdag 24 september 2005 @ 19:05 |
quote: ![]() | |
DaveMasteR | zaterdag 24 september 2005 @ 19:08 |
C’est l’histoire d’une trêve Que j’avais demandée C’est l’histoire d’un soleil Que l’avais espéré C’est l’histoire d’un amour Que je croyais vivant C’est l’histoire d’un beau jour Que moi petit enfant Je voulais être heureux Pour toutes la planète Je coulais, j’espérais Que la paix règne en maître En ce soir de Noël Mais tout a continué Mais tout a continué Mais tout a continué ![]() | |
Dead-Doll | zaterdag 24 september 2005 @ 19:31 |
quote:Vergeet chauffeur niet. | |
-=Bioslock=- | zaterdag 24 september 2005 @ 19:35 |
Hm, hm, hm! | |
-=Bioslock=- | zaterdag 24 september 2005 @ 19:44 |
[mompelt iets over de TT en een trema] | |
bo-mec | zaterdag 24 september 2005 @ 19:45 |
quote:demi-frère | |
Bupatih | zaterdag 24 september 2005 @ 19:45 |
quote:Wat jij wil. ![]() | |
Dead-Doll | zaterdag 24 september 2005 @ 19:46 |
quote:Niet doehoen. | |
Klemvast | zaterdag 24 september 2005 @ 19:47 |
L'idole. - Sonnet du Trou du cul Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d'amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet. Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse, A travers de petits caillots de marne rousse Pour s'aller perdre où la pente les appelait. Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse; Mon âme, du coït matériel jalouse, En fit son larmier fauve et son nid de sanglots. C'est l'olive pâmée, et la flûte caline, C'est le tube où descend la céleste praline: Chanaan féminin dans les moiteurs enclos ! | |
bo-mec | zaterdag 24 september 2005 @ 19:50 |
quote:verkeerd gemompeld | |
JDude | woensdag 4 oktober 2006 @ 23:16 |
Dead-Doll. -=Bioslock=-. Waar zijn ze? ![]() | |
NJ | woensdag 4 oktober 2006 @ 23:18 |
quote:Bupatih. Renmeastro. ![]() | |
killswitch | donderdag 5 oktober 2006 @ 02:07 |
quote:gestorven en gereincarneert in hun huidige verbeterde vorm ![]() | |
cerreur | donderdag 5 oktober 2006 @ 02:10 |
Immer zwelgend in zelfgenot en miserie. | |
buzzer | donderdag 5 oktober 2006 @ 09:46 |
Bien sûr il y a les guerres d'Irlande Et les peuplades sans musique Bien sûr tout ce manque de tendres Il n'y a plus d'Amérique Bien sûr l'argent n'a pas d'odeur Mais pas d'odeur me monte au nez Bien sûr on marche sur les fleurs Mais voir un ami pleurer! Bien sûr il y a nos défaites Et puis la mort qui est tout au bout Nos corps inclinent déjà la tête Étonnés d'être encore debout Bien sûr les femmes infidèles Et les oiseaux assassinés Bien sûr nos coeurs perdent leurs ailes Mais mais voir un ami pleurer! Bien sûr ces villes épuisées Par ces enfants de cinquante ans Notre impuissance à les aider Et nos amours qui ont mal aux dents Bien sûr le temps qui va trop vite Ces métro remplis de noyés La vérité qui nous évite Mais voir un ami pleurer! Bien sûr nos miroirs sont intègres Ni le courage d'être juifs Ni l'élégance d'être nègres On se croit mèche on n'est que suif Et tous ces hommes qui sont nos frères Tellement qu'on n'est plus étonnés Que par amour ils nous lacèrent Mais voir un ami pleurer! | |
Heatseeker | donderdag 5 oktober 2006 @ 12:29 |
Ik mis Dead-doll ook. ![]() | |
Anaalridder | donderdag 5 oktober 2006 @ 12:52 |
BIER! Of niet? ![]() | |
ikwilookwatzeggen | donderdag 5 oktober 2006 @ 13:03 |
quote:Il pleut des cordes | |
Ticootje | donderdag 5 oktober 2006 @ 13:15 |
papa fum le pip mama pip le pa. | |
Chowi | donderdag 5 oktober 2006 @ 16:22 |
Goed topic, dit! | |
Waris3 | donderdag 5 oktober 2006 @ 16:38 |
In Nederland spreekt men van water; De Fransen zeggen "l'eau"; De Belg, die beide talen kent, Die spreekt van Waterloo. |